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| | L'Histoire Sans Fin | |
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Auteur | Message |
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Plumette Administrateur
Messages : 750 Plumes : 646 Date d'inscription : 14/08/2012 Âge : 25 Localisation : BibliOnline !
| Sujet: L'Histoire Sans Fin Dim 19 Aoû - 18:00 | |
| L'Histoire Sans Fin Auteure du jeu : Plumette.
Règles du jeu :
=> Classique. Chacun ajoute un bout de l'histoire à la suite de l'autre, ce qui donne à la fin une histoire sans queue ni tête.
Exemple :
Joueur 1 = C'est l'histoire d'un ours en peluche qui ne savait plus où donner la tête. Joueur 2 = C'est l'histoire d'un ours en peluche qui ne savait plus où donner la tête. Effectivement, il habitait dans le pays du miel, alors il ne savait pas par quel bout de ce monde il devait commencer à dévorer. Joueur 3 = C'est l'histoire d'un ours en peluche qui ne savait plus où donner la tête. Effectivement, il habitait dans le pays du miel, alors il ne savait pas par quel bout de ce monde il devait commencer à dévorer. Lorsqu'un magicien apparut devant lui, ce magicien lui dit : "Si tu manges ce monde, tu mourras !". ... *Désolée, manque d'inspiration^^*
Début du jeu :
Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... | |
| | | Liso Copie Griffonnée
Messages : 67 Plumes : 104 Date d'inscription : 16/08/2012 Âge : 24
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Lun 20 Aoû - 10:08 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois.
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| | | Plumette Administrateur
Messages : 750 Plumes : 646 Date d'inscription : 14/08/2012 Âge : 25 Localisation : BibliOnline !
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Lun 20 Aoû - 10:13 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ?
Dernière édition par Plumette le Sam 5 Jan - 13:51, édité 1 fois | |
| | | La.Marveilleuse Plume Éméchée
Messages : 407 Plumes : 373 Date d'inscription : 02/01/2013 Âge : 109 Localisation : Sur la lune
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Sam 5 Jan - 12:19 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. | |
| | | Plumette Administrateur
Messages : 750 Plumes : 646 Date d'inscription : 14/08/2012 Âge : 25 Localisation : BibliOnline !
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Sam 5 Jan - 12:24 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. Je soupirais, qu'est-ce que j'allais faire ? Il était partit pour la journée, puisque après il sera partit au travail. Je montais dans ma chambre et m'assis sur mon lit lorsque tout en fixant le plafond, je me rendis compte que j'étais dans un monde parallèle. Comment je le voyais ? En fait, tout avait pris une couleur bizarre, et je volais !
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| | | La.Marveilleuse Plume Éméchée
Messages : 407 Plumes : 373 Date d'inscription : 02/01/2013 Âge : 109 Localisation : Sur la lune
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Sam 5 Jan - 12:38 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. Je soupirais, qu'est-ce que j'allais faire ? Il était partit pour la journée, puisque après il sera partit au travail. Je montais dans ma chambre et m'assis sur mon lit lorsque tout en fixant le plafond, je me rendis compte que j'étais dans un monde parallèle. Comment je le voyais ? En fait, tout avait pris une couleur bizarre, et je volais !
Un coup de téléphone me fit redescendre sur Terre je décrocha: -Allo qui est à l’appareil ? -Bonjour madame j'ai une triste nouvelle, à vous annoncer. Je retins mon souffle. -Je suis policier, ce matin j’étais en charge de la voie 15, celle ou votre marie est passé. -Non ! ais-je crié dans le téléphone. -Si. Je suis désolé votre mari et vos enfant on péris. Je suis désolé ! Je raccrochais et fondis en sanglot. Ma seule famille était morte sur une route pour aller dans une crèche, je le savais que quelque chose allait se passait, je le savais! | |
| | | Plumette Administrateur
Messages : 750 Plumes : 646 Date d'inscription : 14/08/2012 Âge : 25 Localisation : BibliOnline !
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Sam 5 Jan - 12:48 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. Je soupirais, qu'est-ce que j'allais faire ? Il était partit pour la journée, puisque après il sera partit au travail. Je montais dans ma chambre et m'assis sur mon lit lorsque tout en fixant le plafond, je me rendis compte que j'étais dans un monde parallèle. Comment je le voyais ? En fait, tout avait pris une couleur bizarre, et je volais !
Un coup de téléphone me fit redescendre sur Terre je décrocha: -Allo qui est à l’appareil ? -Bonjour madame j'ai une triste nouvelle, à vous annoncer. Je retins mon souffle. -Je suis policier, ce matin j’étais en charge de la voie 15, celle ou votre marie est passé. -Non ! ais-je crié dans le téléphone. -Si. Je suis désolé votre mari et vos enfant on péris. Je suis désolé ! Je raccrochais et fondis en sanglot. Ma seule famille était morte sur une route pour aller dans une crèche, je le savais que quelque chose allait se passait, je le savais! Tout devint flou, je titubais, je m'accrochais à la rampe de l'escalier qui était non loin de là, mais le sol m'attirait. Je tombais, évanouie, étendue de tout mon long. Dans mon sommeil, lourd, je LE vis. Un monstre. Un monstre qui se moquait de moi, Un monstre qui disait que ce n'était pas un accident, que c'était un meurtre car mon mari travaillait dans la mafia. Je me réveillais en un sursaut. J'étais à présent dans mon lit. Je ne comprenais pas. Je m'étais pourtant évanouie au pied de l'escalier, non ? Je courus pour regarder chaque recoin de la petite maison. Personne. Je sortis en robe de chambre. Personne aux alentours. Je frissonnais. | |
| | | La.Marveilleuse Plume Éméchée
Messages : 407 Plumes : 373 Date d'inscription : 02/01/2013 Âge : 109 Localisation : Sur la lune
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Sam 5 Jan - 13:29 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. Je soupirais, qu'est-ce que j'allais faire ? Il était partit pour la journée, puisque après il sera partit au travail. Je montais dans ma chambre et m'assis sur mon lit lorsque tout en fixant le plafond, je me rendis compte que j'étais dans un monde parallèle. Comment je le voyais ? En fait, tout avait pris une couleur bizarre, et je volais !
Un coup de téléphone me fit redescendre sur Terre je décrocha: -Allo qui est à l’appareil ? -Bonjour madame j'ai une triste nouvelle, à vous annoncer. Je retins mon souffle. -Je suis policier, ce matin j’étais en charge de la voie 15, celle ou votre marie est passé. -Non ! ais-je crié dans le téléphone. -Si. Je suis désolé votre mari et vos enfant on péris. Je suis désolé ! Je raccrochais et fondis en sanglot. Ma seule famille était morte sur une route pour aller dans une crèche, je le savais que quelque chose allait se passait, je le savais! Tout devint flou, je titubais, je m'accrochais à la rampe de l'escalier qui était non loin de là, mais le sol m'attirait. Je tombais, évanouie, étendue de tout mon long. Dans mon sommeil, lourd, je LE vis. Un monstre. Un monstre qui se moquait de moi, Un monstre qui disait que ce n'était pas un accident, que c'était un meurtre car mon mari travaillait dans la mafia. Je me réveillais en un sursaut. J'étais à présent dans mon lit. Je ne comprenais pas. Je m'étais pourtant évanouie au pied de l'escalier, non ? Je courus pour regarder chaque recoin de la petite maison. Personne. Je sortis en robe de chambre. Personne aux alentours. Je frissonnais. Je courus jusqu'au lac, ce lac nous y somme allés tant de fois ! Je me mis sous l'eau pour me noyer mais le monstre se rapprocha de moi et me fit : - Viens dans mon monde, je réincarnerai ton mari et tes enfants. J'acceptais sans me douter une seule seconde que ce fusse une ruse , de toute façon, la tristesse m'aveuglait. | |
| | | Plumette Administrateur
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| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Sam 5 Jan - 13:49 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. Je soupirais, qu'est-ce que j'allais faire ? Il était partit pour la journée, puisque après il sera partit au travail. Je montais dans ma chambre et m'assis sur mon lit lorsque tout en fixant le plafond, je me rendis compte que j'étais dans un monde parallèle. Comment je le voyais ? En fait, tout avait pris une couleur bizarre, et je volais !
Un coup de téléphone me fit redescendre sur Terre je décrocha: -Allo qui est à l’appareil ? -Bonjour madame j'ai une triste nouvelle, à vous annoncer. Je retins mon souffle. -Je suis policier, ce matin j’étais en charge de la voie 15, celle ou votre marie est passé. -Non ! ais-je crié dans le téléphone. -Si. Je suis désolé votre mari et vos enfant on péris. Je suis désolé ! Je raccrochais et fondis en sanglot. Ma seule famille était morte sur une route pour aller dans une crèche, je le savais que quelque chose allait se passait, je le savais! Tout devint flou, je titubais, je m'accrochais à la rampe de l'escalier qui était non loin de là, mais le sol m'attirait. Je tombais, évanouie, étendue de tout mon long. Dans mon sommeil, lourd, je LE vis. Un monstre. Un monstre qui se moquait de moi, Un monstre qui disait que ce n'était pas un accident, que c'était un meurtre car mon mari travaillait dans la mafia. Je me réveillais en un sursaut. J'étais à présent dans mon lit. Je ne comprenais pas. Je m'étais pourtant évanouie au pied de l'escalier, non ? Je courus pour regarder chaque recoin de la petite maison. Personne. Je sortis en robe de chambre. Personne aux alentours. Je frissonnais. Je courus jusqu'au lac, ce lac nous y somme allés tant de fois ! Je me mis sous l'eau pour me noyer mais le monstre se rapprocha de moi et me fit : - Viens dans mon monde, je réincarnerai ton mari et tes enfants. J'acceptais sans me douter une seule seconde que ce fusse une ruse , de toute façon, la tristesse m'aveuglait. Il me transporta donc dans son monde, l'Enfer. Ce monstre devait être le diable, je ne l'avais pas reconnu car je n'étais pas croyante, mais à présent c'était évident. J'étais son esclave. La seule façon de se sauver de cette prison terrible, c'était de regretter son péché, le problème c'est que je ne voyais ce qui pouvait être mon péché. Qu'était-ce ? Quelle grosse erreur avais-je fait dans ma vie pour mériter l'Enfer ? | |
| | | La.Marveilleuse Plume Éméchée
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| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Sam 5 Jan - 13:56 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. Je soupirais, qu'est-ce que j'allais faire ? Il était partit pour la journée, puisque après il sera partit au travail. Je montais dans ma chambre et m'assis sur mon lit lorsque tout en fixant le plafond, je me rendis compte que j'étais dans un monde parallèle. Comment je le voyais ? En fait, tout avait pris une couleur bizarre, et je volais !
Un coup de téléphone me fit redescendre sur Terre je décrocha: -Allo qui est à l’appareil ? -Bonjour madame j'ai une triste nouvelle, à vous annoncer. Je retins mon souffle. -Je suis policier, ce matin j’étais en charge de la voie 15, celle ou votre marie est passé. -Non ! ais-je crié dans le téléphone. -Si. Je suis désolé votre mari et vos enfant on péris. Je suis désolé ! Je raccrochais et fondis en sanglot. Ma seule famille était morte sur une route pour aller dans une crèche, je le savais que quelque chose allait se passait, je le savais! Tout devint flou, je titubais, je m'accrochais à la rampe de l'escalier qui était non loin de là, mais le sol m'attirait. Je tombais, évanouie, étendue de tout mon long. Dans mon sommeil, lourd, je LE vis. Un monstre. Un monstre qui se moquait de moi, Un monstre qui disait que ce n'était pas un accident, que c'était un meurtre car mon mari travaillait dans la mafia. Je me réveillais en un sursaut. J'étais à présent dans mon lit. Je ne comprenais pas. Je m'étais pourtant évanouie au pied de l'escalier, non ? Je courus pour regarder chaque recoin de la petite maison. Personne. Je sortis en robe de chambre. Personne aux alentours. Je frissonnais. Je courus jusqu'au lac, ce lac nous y somme allés tant de fois ! Je me mis sous l'eau pour me noyer mais le monstre se rapprocha de moi et me fit : - Viens dans mon monde, je réincarnerai ton mari et tes enfants. J'acceptais sans me douter une seule seconde que ce fusse une ruse , de toute façon, la tristesse m'aveuglait. Il me transporta donc dans son monde, l'Enfer. Ce monstre devait être le diable, je ne l'avais pas reconnu car je n'étais pas croyante, mais à présent c'était évident. J'étais son esclave. La seule façon de se sauver de cette prison terrible, c'était de regretter son péché, le problème c'est que je ne voyais ce qui pouvait être mon péché. Qu'était-ce ? Quelle grosse erreur avais-je fait dans ma vie pour mériter l'Enfer ? Il me dit: -Ne t'en fait pas je ne ferais pas de toi mon esclave, mais tu devras te marier avec moi, et tu deviendras la Reine de l'Enfer qu'en dis-tu? -Je... je... je dois réfléchir ! | |
| | | Plumette Administrateur
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| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Sam 5 Jan - 14:05 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. Je soupirais, qu'est-ce que j'allais faire ? Il était partit pour la journée, puisque après il sera partit au travail. Je montais dans ma chambre et m'assis sur mon lit lorsque tout en fixant le plafond, je me rendis compte que j'étais dans un monde parallèle. Comment je le voyais ? En fait, tout avait pris une couleur bizarre, et je volais !
Un coup de téléphone me fit redescendre sur Terre je décrocha: -Allo qui est à l’appareil ? -Bonjour madame j'ai une triste nouvelle, à vous annoncer. Je retins mon souffle. -Je suis policier, ce matin j’étais en charge de la voie 15, celle ou votre marie est passé. -Non ! ais-je crié dans le téléphone. -Si. Je suis désolé votre mari et vos enfant on péris. Je suis désolé ! Je raccrochais et fondis en sanglot. Ma seule famille était morte sur une route pour aller dans une crèche, je le savais que quelque chose allait se passait, je le savais! Tout devint flou, je titubais, je m'accrochais à la rampe de l'escalier qui était non loin de là, mais le sol m'attirait. Je tombais, évanouie, étendue de tout mon long. Dans mon sommeil, lourd, je LE vis. Un monstre. Un monstre qui se moquait de moi, Un monstre qui disait que ce n'était pas un accident, que c'était un meurtre car mon mari travaillait dans la mafia. Je me réveillais en un sursaut. J'étais à présent dans mon lit. Je ne comprenais pas. Je m'étais pourtant évanouie au pied de l'escalier, non ? Je courus pour regarder chaque recoin de la petite maison. Personne. Je sortis en robe de chambre. Personne aux alentours. Je frissonnais. Je courus jusqu'au lac, ce lac nous y somme allés tant de fois ! Je me mis sous l'eau pour me noyer mais le monstre se rapprocha de moi et me fit : - Viens dans mon monde, je réincarnerai ton mari et tes enfants. J'acceptais sans me douter une seule seconde que ce fusse une ruse , de toute façon, la tristesse m'aveuglait. Il me transporta donc dans son monde, l'Enfer. Ce monstre devait être le diable, je ne l'avais pas reconnu car je n'étais pas croyante, mais à présent c'était évident. J'étais son esclave. La seule façon de se sauver de cette prison terrible, c'était de regretter son péché, le problème c'est que je ne voyais ce qui pouvait être mon péché. Qu'était-ce ? Quelle grosse erreur avais-je fait dans ma vie pour mériter l'Enfer ? Il me dit: -Ne t'en fait pas je ne ferais pas de toi mon esclave, mais tu devras te marier avec moi, et tu deviendras la Reine de l'Enfer qu'en dis-tu? -Je... je... je dois réfléchir ! Voyons... est-ce que c'était intéressant? Oui, sans aucun doute. Tout mon corps flanchait vers cette possibilité exaltante. Je me tournais vers lui : - C'est d'accord. J'accepte la proposition. Il eut un sourire de dents jaunes et agita sa fourche ce qui fit que j'eut une tenue rouge en cuir, si osée, que même en maillot de bain je ne l'aurais pas mis ! Elle était... | |
| | | La.Marveilleuse Plume Éméchée
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| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Sam 5 Jan - 14:59 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. Je soupirais, qu'est-ce que j'allais faire ? Il était partit pour la journée, puisque après il sera partit au travail. Je montais dans ma chambre et m'assis sur mon lit lorsque tout en fixant le plafond, je me rendis compte que j'étais dans un monde parallèle. Comment je le voyais ? En fait, tout avait pris une couleur bizarre, et je volais !
Un coup de téléphone me fit redescendre sur Terre je décrocha: -Allo qui est à l’appareil ? -Bonjour madame j'ai une triste nouvelle, à vous annoncer. Je retins mon souffle. -Je suis policier, ce matin j’étais en charge de la voie 15, celle ou votre marie est passé. -Non ! ais-je crié dans le téléphone. -Si. Je suis désolé votre mari et vos enfant on péris. Je suis désolé ! Je raccrochais et fondis en sanglot. Ma seule famille était morte sur une route pour aller dans une crèche, je le savais que quelque chose allait se passait, je le savais! Tout devint flou, je titubais, je m'accrochais à la rampe de l'escalier qui était non loin de là, mais le sol m'attirait. Je tombais, évanouie, étendue de tout mon long. Dans mon sommeil, lourd, je LE vis. Un monstre. Un monstre qui se moquait de moi, Un monstre qui disait que ce n'était pas un accident, que c'était un meurtre car mon mari travaillait dans la mafia. Je me réveillais en un sursaut. J'étais à présent dans mon lit. Je ne comprenais pas. Je m'étais pourtant évanouie au pied de l'escalier, non ? Je courus pour regarder chaque recoin de la petite maison. Personne. Je sortis en robe de chambre. Personne aux alentours. Je frissonnais. Je courus jusqu'au lac, ce lac nous y somme allés tant de fois ! Je me mis sous l'eau pour me noyer mais le monstre se rapprocha de moi et me fit : - Viens dans mon monde, je réincarnerai ton mari et tes enfants. J'acceptais sans me douter une seule seconde que ce fusse une ruse , de toute façon, la tristesse m'aveuglait. Il me transporta donc dans son monde, l'Enfer. Ce monstre devait être le diable, je ne l'avais pas reconnu car je n'étais pas croyante, mais à présent c'était évident. J'étais son esclave. La seule façon de se sauver de cette prison terrible, c'était de regretter son péché, le problème c'est que je ne voyais ce qui pouvait être mon péché. Qu'était-ce ? Quelle grosse erreur avais-je fait dans ma vie pour mériter l'Enfer ? Il me dit: -Ne t'en fait pas je ne ferais pas de toi mon esclave, mais tu devras te marier avec moi, et tu deviendras la Reine de l'Enfer qu'en dis-tu? -Je... je... je dois réfléchir ! Voyons... est-ce que c'était intéressant? Oui, sans aucun doute. Tout mon corps flanchait vers cette possibilité exaltante. Je me tournais vers lui : - C'est d'accord. J'accepte la proposition. Il eut un sourire de dents jaunes et agita sa fourche ce qui fit que j'eut une tenue rouge en cuir, si osée, que même en maillot de bain je ne l'aurais pas mis ! Elle était, cette tenue, bien belle ça c'était sûr, mais un peu dénudée. C'était un soutient gorge avec un fil fin, qui passait devant le nombril et une mini jupe, ma première belle robe. Je me tournais vers mon futur mari : - Merci pour cette belle robe ! - De rien, il faut que les festivité soie réussies ! En le regardant bien, il était assez beau, même très beau, le genre d'homme dont je rêvais. Puis l'image de mon marie me revint en tête, oui l'homme qui était en face de moi était plus beau. Mes propres pensées me dégoûtèrent. Comment pouvait-je penser ça de mon premier amour ? Mais mes pensée était vraies, hélas. | |
| | | Plumette Administrateur
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| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Dim 6 Jan - 12:46 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. Je soupirais, qu'est-ce que j'allais faire ? Il était partit pour la journée, puisque après il sera partit au travail. Je montais dans ma chambre et m'assis sur mon lit lorsque tout en fixant le plafond, je me rendis compte que j'étais dans un monde parallèle. Comment je le voyais ? En fait, tout avait pris une couleur bizarre, et je volais !
Un coup de téléphone me fit redescendre sur Terre je décrocha: -Allo qui est à l’appareil ? -Bonjour madame j'ai une triste nouvelle, à vous annoncer. Je retins mon souffle. -Je suis policier, ce matin j’étais en charge de la voie 15, celle ou votre marie est passé. -Non ! ais-je crié dans le téléphone. -Si. Je suis désolé votre mari et vos enfant on péris. Je suis désolé ! Je raccrochais et fondis en sanglot. Ma seule famille était morte sur une route pour aller dans une crèche, je le savais que quelque chose allait se passait, je le savais! Tout devint flou, je titubais, je m'accrochais à la rampe de l'escalier qui était non loin de là, mais le sol m'attirait. Je tombais, évanouie, étendue de tout mon long. Dans mon sommeil, lourd, je LE vis. Un monstre. Un monstre qui se moquait de moi, Un monstre qui disait que ce n'était pas un accident, que c'était un meurtre car mon mari travaillait dans la mafia. Je me réveillais en un sursaut. J'étais à présent dans mon lit. Je ne comprenais pas. Je m'étais pourtant évanouie au pied de l'escalier, non ? Je courus pour regarder chaque recoin de la petite maison. Personne. Je sortis en robe de chambre. Personne aux alentours. Je frissonnais. Je courus jusqu'au lac, ce lac nous y somme allés tant de fois ! Je me mis sous l'eau pour me noyer mais le monstre se rapprocha de moi et me fit : - Viens dans mon monde, je réincarnerai ton mari et tes enfants. J'acceptais sans me douter une seule seconde que ce fusse une ruse , de toute façon, la tristesse m'aveuglait. Il me transporta donc dans son monde, l'Enfer. Ce monstre devait être le diable, je ne l'avais pas reconnu car je n'étais pas croyante, mais à présent c'était évident. J'étais son esclave. La seule façon de se sauver de cette prison terrible, c'était de regretter son péché, le problème c'est que je ne voyais ce qui pouvait être mon péché. Qu'était-ce ? Quelle grosse erreur avais-je fait dans ma vie pour mériter l'Enfer ? Il me dit: -Ne t'en fait pas je ne ferais pas de toi mon esclave, mais tu devras te marier avec moi, et tu deviendras la Reine de l'Enfer qu'en dis-tu? -Je... je... je dois réfléchir ! Voyons... est-ce que c'était intéressant? Oui, sans aucun doute. Tout mon corps flanchait vers cette possibilité exaltante. Je me tournais vers lui : - C'est d'accord. J'accepte la proposition. Il eut un sourire de dents jaunes et agita sa fourche ce qui fit que j'eut une tenue rouge en cuir, si osée, que même en maillot de bain je ne l'aurais pas mis ! Elle était, cette tenue, bien belle ça c'était sûr, mais un peu dénudée. C'était un soutient gorge avec un fil fin, qui passait devant le nombril et une mini jupe, ma première belle robe. Je me tournais vers mon futur mari : - Merci pour cette belle robe ! - De rien, il faut que les festivité soie réussies ! En le regardant bien, il était assez beau, même très beau, le genre d'homme dont je rêvais. Puis l'image de mon marie me revint en tête, oui l'homme qui était en face de moi était plus beau. Mes propres pensées me dégoûtèrent. Comment pouvait-je penser ça de mon premier amour ? Mais mes pensée était vraies, hélas. Le mariage fut magnifique, le plus beau et le plus terrifiant à la fois. Mon mari avait la peau de couleur rouge, il avait mis un smoking sans chemise, uniquement avec une veste, un pantalon et des chaussures de sorte que l'on voyait son superbe torse dur comme la roche et très musclé. | |
| | | La.Marveilleuse Plume Éméchée
Messages : 407 Plumes : 373 Date d'inscription : 02/01/2013 Âge : 109 Localisation : Sur la lune
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Dim 6 Jan - 13:39 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. Je soupirais, qu'est-ce que j'allais faire ? Il était partit pour la journée, puisque après il sera partit au travail. Je montais dans ma chambre et m'assis sur mon lit lorsque tout en fixant le plafond, je me rendis compte que j'étais dans un monde parallèle. Comment je le voyais ? En fait, tout avait pris une couleur bizarre, et je volais !
Un coup de téléphone me fit redescendre sur Terre je décrocha: -Allo qui est à l’appareil ? -Bonjour madame j'ai une triste nouvelle, à vous annoncer. Je retins mon souffle. -Je suis policier, ce matin j’étais en charge de la voie 15, celle ou votre marie est passé. -Non ! ais-je crié dans le téléphone. -Si. Je suis désolé votre mari et vos enfant on péris. Je suis désolé ! Je raccrochais et fondis en sanglot. Ma seule famille était morte sur une route pour aller dans une crèche, je le savais que quelque chose allait se passait, je le savais! Tout devint flou, je titubais, je m'accrochais à la rampe de l'escalier qui était non loin de là, mais le sol m'attirait. Je tombais, évanouie, étendue de tout mon long. Dans mon sommeil, lourd, je LE vis. Un monstre. Un monstre qui se moquait de moi, Un monstre qui disait que ce n'était pas un accident, que c'était un meurtre car mon mari travaillait dans la mafia. Je me réveillais en un sursaut. J'étais à présent dans mon lit. Je ne comprenais pas. Je m'étais pourtant évanouie au pied de l'escalier, non ? Je courus pour regarder chaque recoin de la petite maison. Personne. Je sortis en robe de chambre. Personne aux alentours. Je frissonnais. Je courus jusqu'au lac, ce lac nous y somme allés tant de fois ! Je me mis sous l'eau pour me noyer mais le monstre se rapprocha de moi et me fit : - Viens dans mon monde, je réincarnerai ton mari et tes enfants. J'acceptais sans me douter une seule seconde que ce fusse une ruse , de toute façon, la tristesse m'aveuglait. Il me transporta donc dans son monde, l'Enfer. Ce monstre devait être le diable, je ne l'avais pas reconnu car je n'étais pas croyante, mais à présent c'était évident. J'étais son esclave. La seule façon de se sauver de cette prison terrible, c'était de regretter son péché, le problème c'est que je ne voyais ce qui pouvait être mon péché. Qu'était-ce ? Quelle grosse erreur avais-je fait dans ma vie pour mériter l'Enfer ? Il me dit: -Ne t'en fait pas je ne ferais pas de toi mon esclave, mais tu devras te marier avec moi, et tu deviendras la Reine de l'Enfer qu'en dis-tu? -Je... je... je dois réfléchir ! Voyons... est-ce que c'était intéressant? Oui, sans aucun doute. Tout mon corps flanchait vers cette possibilité exaltante. Je me tournais vers lui : - C'est d'accord. J'accepte la proposition. Il eut un sourire de dents jaunes et agita sa fourche ce qui fit que j'eut une tenue rouge en cuir, si osée, que même en maillot de bain je ne l'aurais pas mis ! Elle était, cette tenue, bien belle ça c'était sûr, mais un peu dénudée. C'était un soutient gorge avec un fil fin, qui passait devant le nombril et une mini jupe, ma première belle robe. Je me tournais vers mon futur mari : - Merci pour cette belle robe ! - De rien, il faut que les festivité soie réussies ! En le regardant bien, il était assez beau, même très beau, le genre d'homme dont je rêvais. Puis l'image de mon marie me revint en tête, oui l'homme qui était en face de moi était plus beau. Mes propres pensées me dégoûtèrent. Comment pouvait-je penser ça de mon premier amour ? Mais mes pensée était vraies, hélas. Le mariage fut magnifique, le plus beau et le plus terrifiant à la fois. Mon mari avait la peau de couleur rouge, il avait mis un smoking sans chemise, uniquement avec une veste, un pantalon et des chaussures de sorte que l'on voyait son superbe torse dur comme la roche et très musclé. Quand le prêtre dit enfin "Vous pouvez embrasser la marié." ; J'hésita, repensant à mon mari, j'en avais marre de penser à lui. Il était mort, je devais continuer à vivre ! Je m’arrêtais soudain, l'enfer changeais mon tempérament ! Après le mariage je suis allée demander à mon mari : - Maintenant, réincarnez mon ex. - Mais tu n'as plus besoin de lui, tu m'as moi maintenant, d'ailleurs sans vouloir critiquer les morts je suis plus beau que lui. Il avait raison, m'avouais-je. Mais je demandais quand même: - Alors redonnez la vie à mes enfants. - Nous allons bientôt en faire d'autres. - Mais je veux MES enfants ! - Oui, mais ce ne sont pas les miens, calme-toi, chérie. - Je ne veux pas me calmer je veux mes enfant. Mais je changeais de tempérament : - Oh puis, tu as raison ; ils ne seront que de trop, ici ! Comment pouvais-je penser cela ?! | |
| | | Plumette Administrateur
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| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Dim 6 Jan - 14:09 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. Je soupirais, qu'est-ce que j'allais faire ? Il était partit pour la journée, puisque après il sera partit au travail. Je montais dans ma chambre et m'assis sur mon lit lorsque tout en fixant le plafond, je me rendis compte que j'étais dans un monde parallèle. Comment je le voyais ? En fait, tout avait pris une couleur bizarre, et je volais !
Un coup de téléphone me fit redescendre sur Terre je décrocha: -Allo qui est à l’appareil ? -Bonjour madame j'ai une triste nouvelle, à vous annoncer. Je retins mon souffle. -Je suis policier, ce matin j’étais en charge de la voie 15, celle ou votre marie est passé. -Non ! ais-je crié dans le téléphone. -Si. Je suis désolé votre mari et vos enfant on péris. Je suis désolé ! Je raccrochais et fondis en sanglot. Ma seule famille était morte sur une route pour aller dans une crèche, je le savais que quelque chose allait se passait, je le savais! Tout devint flou, je titubais, je m'accrochais à la rampe de l'escalier qui était non loin de là, mais le sol m'attirait. Je tombais, évanouie, étendue de tout mon long. Dans mon sommeil, lourd, je LE vis. Un monstre. Un monstre qui se moquait de moi, Un monstre qui disait que ce n'était pas un accident, que c'était un meurtre car mon mari travaillait dans la mafia. Je me réveillais en un sursaut. J'étais à présent dans mon lit. Je ne comprenais pas. Je m'étais pourtant évanouie au pied de l'escalier, non ? Je courus pour regarder chaque recoin de la petite maison. Personne. Je sortis en robe de chambre. Personne aux alentours. Je frissonnais. Je courus jusqu'au lac, ce lac nous y somme allés tant de fois ! Je me mis sous l'eau pour me noyer mais le monstre se rapprocha de moi et me fit : - Viens dans mon monde, je réincarnerai ton mari et tes enfants. J'acceptais sans me douter une seule seconde que ce fusse une ruse , de toute façon, la tristesse m'aveuglait. Il me transporta donc dans son monde, l'Enfer. Ce monstre devait être le diable, je ne l'avais pas reconnu car je n'étais pas croyante, mais à présent c'était évident. J'étais son esclave. La seule façon de se sauver de cette prison terrible, c'était de regretter son péché, le problème c'est que je ne voyais ce qui pouvait être mon péché. Qu'était-ce ? Quelle grosse erreur avais-je fait dans ma vie pour mériter l'Enfer ? Il me dit: -Ne t'en fait pas je ne ferais pas de toi mon esclave, mais tu devras te marier avec moi, et tu deviendras la Reine de l'Enfer qu'en dis-tu? -Je... je... je dois réfléchir ! Voyons... est-ce que c'était intéressant? Oui, sans aucun doute. Tout mon corps flanchait vers cette possibilité exaltante. Je me tournais vers lui : - C'est d'accord. J'accepte la proposition. Il eut un sourire de dents jaunes et agita sa fourche ce qui fit que j'eut une tenue rouge en cuir, si osée, que même en maillot de bain je ne l'aurais pas mis ! Elle était, cette tenue, bien belle ça c'était sûr, mais un peu dénudée. C'était un soutient gorge avec un fil fin, qui passait devant le nombril et une mini jupe, ma première belle robe. Je me tournais vers mon futur mari : - Merci pour cette belle robe ! - De rien, il faut que les festivité soie réussies ! En le regardant bien, il était assez beau, même très beau, le genre d'homme dont je rêvais. Puis l'image de mon marie me revint en tête, oui l'homme qui était en face de moi était plus beau. Mes propres pensées me dégoûtèrent. Comment pouvait-je penser ça de mon premier amour ? Mais mes pensée était vraies, hélas. Le mariage fut magnifique, le plus beau et le plus terrifiant à la fois. Mon mari avait la peau de couleur rouge, il avait mis un smoking sans chemise, uniquement avec une veste, un pantalon et des chaussures de sorte que l'on voyait son superbe torse dur comme la roche et très musclé. Quand le prêtre dit enfin "Vous pouvez embrasser la marié." ; J'hésita, repensant à mon mari, j'en avais marre de penser à lui. Il était mort, je devais continuer à vivre ! Je m’arrêtais soudain, l'enfer changeais mon tempérament ! Après le mariage je suis allée demander à mon mari : - Maintenant, réincarnez mon ex. - Mais tu n'as plus besoin de lui, tu m'as moi maintenant, d'ailleurs sans vouloir critiquer les morts je suis plus beau que lui. Il avait raison, m'avouais-je. Mais je demandais quand même: - Alors redonnez la vie à mes enfants. - Nous allons bientôt en faire d'autres. - Mais je veux MES enfants ! - Oui, mais ce ne sont pas les miens, calme-toi, chérie. - Je ne veux pas me calmer je veux mes enfant. Mais je changeais de tempérament : - Oh puis, tu as raison ; ils ne seront que de trop, ici ! Comment pouvais-je penser cela ?! Les jours qui suivirent, je me plongeais dans la luxure et les privilèges que me proposaient le diable, c'était tellement bon d'avoir de l'abondance dans tout sans aucun effort. Lorsqu'un jour, lors d'un dîner de grand chef, je rencontrais un ange déguisé en diablotin qui m'ouvrit les yeux, qui me raconta mon ancienne vie et qui me fit, si tu veux, je peux faire un retour en arrière de un mois, comme ça ton mari et tes enfants seront de nouveau vivant. Je réfléchis 5 minutes et hochais la tête, je voulais bien. Il sortit un couteau, m'entailla le bras, approcha son visage en grondant un sort.
Je me réveillais. Regardais mon bras, il était entaillé, j'étais chez moi, dans ma chambre, mon mari se penchait vers moi pour m'embrasser langoureusement et me dire qu'il allait emmener les enfants à la crèche. Je bondis d'un mètre au moins. Il ne fallait pas qu'il aille à la crèche, sinon ce sera un long cercle vicieux ! Comment le convaincre ? | |
| | | La.Marveilleuse Plume Éméchée
Messages : 407 Plumes : 373 Date d'inscription : 02/01/2013 Âge : 109 Localisation : Sur la lune
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Dim 6 Jan - 14:38 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. Je soupirais, qu'est-ce que j'allais faire ? Il était partit pour la journée, puisque après il sera partit au travail. Je montais dans ma chambre et m'assis sur mon lit lorsque tout en fixant le plafond, je me rendis compte que j'étais dans un monde parallèle. Comment je le voyais ? En fait, tout avait pris une couleur bizarre, et je volais !
Un coup de téléphone me fit redescendre sur Terre je décrocha: -Allo qui est à l’appareil ? -Bonjour madame j'ai une triste nouvelle, à vous annoncer. Je retins mon souffle. -Je suis policier, ce matin j’étais en charge de la voie 15, celle ou votre marie est passé. -Non ! ais-je crié dans le téléphone. -Si. Je suis désolé votre mari et vos enfant on péris. Je suis désolé ! Je raccrochais et fondis en sanglot. Ma seule famille était morte sur une route pour aller dans une crèche, je le savais que quelque chose allait se passait, je le savais! Tout devint flou, je titubais, je m'accrochais à la rampe de l'escalier qui était non loin de là, mais le sol m'attirait. Je tombais, évanouie, étendue de tout mon long. Dans mon sommeil, lourd, je LE vis. Un monstre. Un monstre qui se moquait de moi, Un monstre qui disait que ce n'était pas un accident, que c'était un meurtre car mon mari travaillait dans la mafia. Je me réveillais en un sursaut. J'étais à présent dans mon lit. Je ne comprenais pas. Je m'étais pourtant évanouie au pied de l'escalier, non ? Je courus pour regarder chaque recoin de la petite maison. Personne. Je sortis en robe de chambre. Personne aux alentours. Je frissonnais. Je courus jusqu'au lac, ce lac nous y somme allés tant de fois ! Je me mis sous l'eau pour me noyer mais le monstre se rapprocha de moi et me fit : - Viens dans mon monde, je réincarnerai ton mari et tes enfants. J'acceptais sans me douter une seule seconde que ce fusse une ruse , de toute façon, la tristesse m'aveuglait. Il me transporta donc dans son monde, l'Enfer. Ce monstre devait être le diable, je ne l'avais pas reconnu car je n'étais pas croyante, mais à présent c'était évident. J'étais son esclave. La seule façon de se sauver de cette prison terrible, c'était de regretter son péché, le problème c'est que je ne voyais ce qui pouvait être mon péché. Qu'était-ce ? Quelle grosse erreur avais-je fait dans ma vie pour mériter l'Enfer ? Il me dit: -Ne t'en fait pas je ne ferais pas de toi mon esclave, mais tu devras te marier avec moi, et tu deviendras la Reine de l'Enfer qu'en dis-tu? -Je... je... je dois réfléchir ! Voyons... est-ce que c'était intéressant? Oui, sans aucun doute. Tout mon corps flanchait vers cette possibilité exaltante. Je me tournais vers lui : - C'est d'accord. J'accepte la proposition. Il eut un sourire de dents jaunes et agita sa fourche ce qui fit que j'eut une tenue rouge en cuir, si osée, que même en maillot de bain je ne l'aurais pas mis ! Elle était, cette tenue, bien belle ça c'était sûr, mais un peu dénudée. C'était un soutient gorge avec un fil fin, qui passait devant le nombril et une mini jupe, ma première belle robe. Je me tournais vers mon futur mari : - Merci pour cette belle robe ! - De rien, il faut que les festivité soie réussies ! En le regardant bien, il était assez beau, même très beau, le genre d'homme dont je rêvais. Puis l'image de mon marie me revint en tête, oui l'homme qui était en face de moi était plus beau. Mes propres pensées me dégoûtèrent. Comment pouvait-je penser ça de mon premier amour ? Mais mes pensée était vraies, hélas. Le mariage fut magnifique, le plus beau et le plus terrifiant à la fois. Mon mari avait la peau de couleur rouge, il avait mis un smoking sans chemise, uniquement avec une veste, un pantalon et des chaussures de sorte que l'on voyait son superbe torse dur comme la roche et très musclé. Quand le prêtre dit enfin "Vous pouvez embrasser la marié." ; J'hésita, repensant à mon mari, j'en avais marre de penser à lui. Il était mort, je devais continuer à vivre ! Je m’arrêtais soudain, l'enfer changeais mon tempérament ! Après le mariage je suis allée demander à mon mari : - Maintenant, réincarnez mon ex. - Mais tu n'as plus besoin de lui, tu m'as moi maintenant, d'ailleurs sans vouloir critiquer les morts je suis plus beau que lui. Il avait raison, m'avouais-je. Mais je demandais quand même: - Alors redonnez la vie à mes enfants. - Nous allons bientôt en faire d'autres. - Mais je veux MES enfants ! - Oui, mais ce ne sont pas les miens, calme-toi, chérie. - Je ne veux pas me calmer je veux mes enfant. Mais je changeais de tempérament : - Oh puis, tu as raison ; ils ne seront que de trop, ici ! Comment pouvais-je penser cela ?! Les jours qui suivirent, je me plongeais dans la luxure et les privilèges que me proposaient le diable, c'était tellement bon d'avoir de l'abondance dans tout sans aucun effort. Lorsqu'un jour, lors d'un dîner de grand chef, je rencontrais un ange déguisé en diablotin qui m'ouvrit les yeux, qui me raconta mon ancienne vie et qui me fit, si tu veux, je peux faire un retour en arrière de un mois, comme ça ton mari et tes enfants seront de nouveau vivant. Je réfléchis 5 minutes et hochais la tête, je voulais bien. Il sortit un couteau, m'entailla le bras, approcha son visage en grondant un sort.
Je me réveillais. Regardais mon bras, il était entaillé, j'étais chez moi, dans ma chambre, mon mari se penchait vers moi pour m'embrasser langoureusement et me dire qu'il allait emmener les enfants à la crèche. Je bondis d'un mètre au moins. Il ne fallait pas qu'il aille à la crèche, sinon ce sera un long cercle vicieux ! Comment le convaincre ? Il me demanda: - Qu'a ton bras gauche ? - Mais tu sais bien, il faut qu'on me le recouse ; mais d'abord je vais conduire les enfant à la crèche, d'accord ? - Si tu veux ! Bon, je vais au travail. - Euh je te conduis ? - Oui, si tu veux. Mais le diable avait tout vu et ne voulait pas que cette famille s'en sorte ou alors que cette femme sur qui il avait craqué. Mais l'ange aussi était là et il avait besoin qu'ils meurent tous car cette femme il en avait besoin mais pas pour se marier pour sauver le monde !
Dernière édition par La.Marveilleuse le Ven 8 Fév - 12:52, édité 1 fois | |
| | | Zagdar Copie Griffonnée
Messages : 51 Plumes : 100 Date d'inscription : 30/08/2012 Âge : 25 Localisation : Quelque part
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Ven 8 Fév - 12:51 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. Je soupirais, qu'est-ce que j'allais faire ? Il était partit pour la journée, puisque après il sera partit au travail. Je montais dans ma chambre et m'assis sur mon lit lorsque tout en fixant le plafond, je me rendis compte que j'étais dans un monde parallèle. Comment je le voyais ? En fait, tout avait pris une couleur bizarre, et je volais !
Un coup de téléphone me fit redescendre sur Terre je décrocha: -Allo qui est à l’appareil ? -Bonjour madame j'ai une triste nouvelle, à vous annoncer. Je retins mon souffle. -Je suis policier, ce matin j’étais en charge de la voie 15, celle ou votre marie est passé. -Non ! ais-je crié dans le téléphone. -Si. Je suis désolé votre mari et vos enfant on péris. Je suis désolé ! Je raccrochais et fondis en sanglot. Ma seule famille était morte sur une route pour aller dans une crèche, je le savais que quelque chose allait se passait, je le savais! Tout devint flou, je titubais, je m'accrochais à la rampe de l'escalier qui était non loin de là, mais le sol m'attirait. Je tombais, évanouie, étendue de tout mon long. Dans mon sommeil, lourd, je LE vis. Un monstre. Un monstre qui se moquait de moi, Un monstre qui disait que ce n'était pas un accident, que c'était un meurtre car mon mari travaillait dans la mafia. Je me réveillais en un sursaut. J'étais à présent dans mon lit. Je ne comprenais pas. Je m'étais pourtant évanouie au pied de l'escalier, non ? Je courus pour regarder chaque recoin de la petite maison. Personne. Je sortis en robe de chambre. Personne aux alentours. Je frissonnais. Je courus jusqu'au lac, ce lac nous y somme allés tant de fois ! Je me mis sous l'eau pour me noyer mais le monstre se rapprocha de moi et me fit : - Viens dans mon monde, je réincarnerai ton mari et tes enfants. J'acceptais sans me douter une seule seconde que ce fusse une ruse , de toute façon, la tristesse m'aveuglait. Il me transporta donc dans son monde, l'Enfer. Ce monstre devait être le diable, je ne l'avais pas reconnu car je n'étais pas croyante, mais à présent c'était évident. J'étais son esclave. La seule façon de se sauver de cette prison terrible, c'était de regretter son péché, le problème c'est que je ne voyais ce qui pouvait être mon péché. Qu'était-ce ? Quelle grosse erreur avais-je fait dans ma vie pour mériter l'Enfer ? Il me dit: -Ne t'en fait pas je ne ferais pas de toi mon esclave, mais tu devras te marier avec moi, et tu deviendras la Reine de l'Enfer qu'en dis-tu? -Je... je... je dois réfléchir ! Voyons... est-ce que c'était intéressant? Oui, sans aucun doute. Tout mon corps flanchait vers cette possibilité exaltante. Je me tournais vers lui : - C'est d'accord. J'accepte la proposition. Il eut un sourire de dents jaunes et agita sa fourche ce qui fit que j'eut une tenue rouge en cuir, si osée, que même en maillot de bain je ne l'aurais pas mis ! Elle était, cette tenue, bien belle ça c'était sûr, mais un peu dénudée. C'était un soutient gorge avec un fil fin, qui passait devant le nombril et une mini jupe, ma première belle robe. Je me tournais vers mon futur mari : - Merci pour cette belle robe ! - De rien, il faut que les festivité soie réussies ! En le regardant bien, il était assez beau, même très beau, le genre d'homme dont je rêvais. Puis l'image de mon marie me revint en tête, oui l'homme qui était en face de moi était plus beau. Mes propres pensées me dégoûtèrent. Comment pouvait-je penser ça de mon premier amour ? Mais mes pensée était vraies, hélas. Le mariage fut magnifique, le plus beau et le plus terrifiant à la fois. Mon mari avait la peau de couleur rouge, il avait mis un smoking sans chemise, uniquement avec une veste, un pantalon et des chaussures de sorte que l'on voyait son superbe torse dur comme la roche et très musclé. Quand le prêtre dit enfin "Vous pouvez embrasser la marié." ; J'hésita, repensant à mon mari, j'en avais marre de penser à lui. Il était mort, je devais continuer à vivre ! Je m’arrêtais soudain, l'enfer changeais mon tempérament ! Après le mariage je suis allée demander à mon mari : - Maintenant, réincarnez mon ex. - Mais tu n'as plus besoin de lui, tu m'as moi maintenant, d'ailleurs sans vouloir critiquer les morts je suis plus beau que lui. Il avait raison, m'avouais-je. Mais je demandais quand même: - Alors redonnez la vie à mes enfants. - Nous allons bientôt en faire d'autres. - Mais je veux MES enfants ! - Oui, mais ce ne sont pas les miens, calme-toi, chérie. - Je ne veux pas me calmer je veux mes enfant. Mais je changeais de tempérament : - Oh puis, tu as raison ; ils ne seront que de trop, ici ! Comment pouvais-je penser cela ?! Les jours qui suivirent, je me plongeais dans la luxure et les privilèges que me proposaient le diable, c'était tellement bon d'avoir de l'abondance dans tout sans aucun effort. Lorsqu'un jour, lors d'un dîner de grand chef, je rencontrais un ange déguisé en diablotin qui m'ouvrit les yeux, qui me raconta mon ancienne vie et qui me fit, si tu veux, je peux faire un retour en arrière de un mois, comme ça ton mari et tes enfants seront de nouveau vivant. Je réfléchis 5 minutes et hochais la tête, je voulais bien. Il sortit un couteau, m'entailla le bras, approcha son visage en grondant un sort.
Je me réveillais. Regardais mon bras, il était entaillé, j'étais chez moi, dans ma chambre, mon mari se penchait vers moi pour m'embrasser langoureusement et me dire qu'il allait emmener les enfants à la crèche. Je bondis d'un mètre au moins. Il ne fallait pas qu'il aille à la crèche, sinon ce sera un long cercle vicieux ! Comment le convaincre ? Il me demanda: - Où est passé ton bras gauche ? - Mais tu sais bien, il faut qu'on me le recouse ; mais d'abord je vais conduire les enfant à la crèche, d'accord ? - Si tu veux ! Bon, je vais au travail. - Euh je te conduis ? - Oui, si tu veux. Mais le diable avait tout vu et ne voulait pas que cette famille s'en sorte ou alors que cette femme sur qui il avait craqué. Mais l'ange aussi était là et il avait besoin qu'ils meurent tous car cette femme il en avait besoin mais pas pour se marier pour sauver le monde !
Le monstre qui ne voulait pas que l'ange arrive à ses fins alla le voir, il n'eurent pas besoin de paroles les poings suffisaient ils se battaient comme deux lions enragés mais ils ne se rendaient pas compte de leurs pouvoirs et du coup ils déclenchèrent une explosion qui ravageait le monde.
-Qu'est ce que j'ai fait? dit l'ange | |
| | | Plumette Administrateur
Messages : 750 Plumes : 646 Date d'inscription : 14/08/2012 Âge : 25 Localisation : BibliOnline !
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Ven 8 Fév - 14:46 | |
| Pourquoi tout les jours se ressemblent ? Je me levais, me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuné, lorsque par malheur, je trébuchais... Je tombais dans les bras de mon petit ami qui me dit: -Fais attention, la prochaine fois. J'écarquillais les yeux pour répondre presque immédiatement : -Ouf ! Merci... Quelque chose qui avait cassé ma routine... était-ce un signe ? Un signe que ce ne serait pas une journée comme les autres ? Alors je lui dit: -J'emmène les enfants à la crèche. Il me fit: -Non, ce n'est pas prudent je vais le faire ! Il prit ma fille et mon fils me donna un bisou, ouvrit la porte et partit. Je soupirais, qu'est-ce que j'allais faire ? Il était partit pour la journée, puisque après il sera partit au travail. Je montais dans ma chambre et m'assis sur mon lit lorsque tout en fixant le plafond, je me rendis compte que j'étais dans un monde parallèle. Comment je le voyais ? En fait, tout avait pris une couleur bizarre, et je volais !
Un coup de téléphone me fit redescendre sur Terre je décrocha: -Allo qui est à l’appareil ? -Bonjour madame j'ai une triste nouvelle, à vous annoncer. Je retins mon souffle. -Je suis policier, ce matin j’étais en charge de la voie 15, celle ou votre marie est passé. -Non ! ais-je crié dans le téléphone. -Si. Je suis désolé votre mari et vos enfant on péris. Je suis désolé ! Je raccrochais et fondis en sanglot. Ma seule famille était morte sur une route pour aller dans une crèche, je le savais que quelque chose allait se passait, je le savais! Tout devint flou, je titubais, je m'accrochais à la rampe de l'escalier qui était non loin de là, mais le sol m'attirait. Je tombais, évanouie, étendue de tout mon long. Dans mon sommeil, lourd, je LE vis. Un monstre. Un monstre qui se moquait de moi, Un monstre qui disait que ce n'était pas un accident, que c'était un meurtre car mon mari travaillait dans la mafia. Je me réveillais en un sursaut. J'étais à présent dans mon lit. Je ne comprenais pas. Je m'étais pourtant évanouie au pied de l'escalier, non ? Je courus pour regarder chaque recoin de la petite maison. Personne. Je sortis en robe de chambre. Personne aux alentours. Je frissonnais. Je courus jusqu'au lac, ce lac nous y somme allés tant de fois ! Je me mis sous l'eau pour me noyer mais le monstre se rapprocha de moi et me fit : - Viens dans mon monde, je réincarnerai ton mari et tes enfants. J'acceptais sans me douter une seule seconde que ce fusse une ruse , de toute façon, la tristesse m'aveuglait. Il me transporta donc dans son monde, l'Enfer. Ce monstre devait être le diable, je ne l'avais pas reconnu car je n'étais pas croyante, mais à présent c'était évident. J'étais son esclave. La seule façon de se sauver de cette prison terrible, c'était de regretter son péché, le problème c'est que je ne voyais ce qui pouvait être mon péché. Qu'était-ce ? Quelle grosse erreur avais-je fait dans ma vie pour mériter l'Enfer ? Il me dit: -Ne t'en fait pas je ne ferais pas de toi mon esclave, mais tu devras te marier avec moi, et tu deviendras la Reine de l'Enfer qu'en dis-tu? -Je... je... je dois réfléchir ! Voyons... est-ce que c'était intéressant? Oui, sans aucun doute. Tout mon corps flanchait vers cette possibilité exaltante. Je me tournais vers lui : - C'est d'accord. J'accepte la proposition. Il eut un sourire de dents jaunes et agita sa fourche ce qui fit que j'eut une tenue rouge en cuir, si osée, que même en maillot de bain je ne l'aurais pas mis ! Elle était, cette tenue, bien belle ça c'était sûr, mais un peu dénudée. C'était un soutient gorge avec un fil fin, qui passait devant le nombril et une mini jupe, ma première belle robe. Je me tournais vers mon futur mari : - Merci pour cette belle robe ! - De rien, il faut que les festivité soie réussies ! En le regardant bien, il était assez beau, même très beau, le genre d'homme dont je rêvais. Puis l'image de mon marie me revint en tête, oui l'homme qui était en face de moi était plus beau. Mes propres pensées me dégoûtèrent. Comment pouvait-je penser ça de mon premier amour ? Mais mes pensée était vraies, hélas. Le mariage fut magnifique, le plus beau et le plus terrifiant à la fois. Mon mari avait la peau de couleur rouge, il avait mis un smoking sans chemise, uniquement avec une veste, un pantalon et des chaussures de sorte que l'on voyait son superbe torse dur comme la roche et très musclé. Quand le prêtre dit enfin "Vous pouvez embrasser la marié." ; J'hésita, repensant à mon mari, j'en avais marre de penser à lui. Il était mort, je devais continuer à vivre ! Je m’arrêtais soudain, l'enfer changeais mon tempérament ! Après le mariage je suis allée demander à mon mari : - Maintenant, réincarnez mon ex. - Mais tu n'as plus besoin de lui, tu m'as moi maintenant, d'ailleurs sans vouloir critiquer les morts je suis plus beau que lui. Il avait raison, m'avouais-je. Mais je demandais quand même: - Alors redonnez la vie à mes enfants. - Nous allons bientôt en faire d'autres. - Mais je veux MES enfants ! - Oui, mais ce ne sont pas les miens, calme-toi, chérie. - Je ne veux pas me calmer je veux mes enfant. Mais je changeais de tempérament : - Oh puis, tu as raison ; ils ne seront que de trop, ici ! Comment pouvais-je penser cela ?! Les jours qui suivirent, je me plongeais dans la luxure et les privilèges que me proposaient le diable, c'était tellement bon d'avoir de l'abondance dans tout sans aucun effort. Lorsqu'un jour, lors d'un dîner de grand chef, je rencontrais un ange déguisé en diablotin qui m'ouvrit les yeux, qui me raconta mon ancienne vie et qui me fit, si tu veux, je peux faire un retour en arrière de un mois, comme ça ton mari et tes enfants seront de nouveau vivant. Je réfléchis 5 minutes et hochais la tête, je voulais bien. Il sortit un couteau, m'entailla le bras, approcha son visage en grondant un sort.
Je me réveillais. Regardais mon bras, il était entaillé, j'étais chez moi, dans ma chambre, mon mari se penchait vers moi pour m'embrasser langoureusement et me dire qu'il allait emmener les enfants à la crèche. Je bondis d'un mètre au moins. Il ne fallait pas qu'il aille à la crèche, sinon ce sera un long cercle vicieux ! Comment le convaincre ? Il me demanda: - Où est passé ton bras gauche ? - Mais tu sais bien, il faut qu'on me le recouse ; mais d'abord je vais conduire les enfant à la crèche, d'accord ? - Si tu veux ! Bon, je vais au travail. - Euh je te conduis ? - Oui, si tu veux. Mais le diable avait tout vu et ne voulait pas que cette famille s'en sorte ou alors que cette femme sur qui il avait craqué. Mais l'ange aussi était là et il avait besoin qu'ils meurent tous car cette femme il en avait besoin mais pas pour se marier pour sauver le monde !
Le monstre qui ne voulait pas que l'ange arrive à ses fins alla le voir, il n'eurent pas besoin de paroles les poings suffisaient ils se battaient comme deux lions enragés mais ils ne se rendaient pas compte de leurs pouvoirs et du coup ils déclenchèrent une explosion qui ravageait le monde.
-Qu'est ce que j'ai fait? dit l'ange
Et il mourra à son tour, distrait par l'explosion et tué par le monstre qui mourra aussi à son tour, frappé par une météorite. * * * * * * * * * * * * * * * Et si on commençait une nouvelle histoire ?? | |
| | | Soleil Parchemin Vierge
Messages : 9 Plumes : 10 Date d'inscription : 08/02/2013 Âge : 25 Localisation : CDI
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Dim 10 Fév - 11:24 | |
| Je commence l'histoire :D
C'est L'histoire d'une fille et d'un garcon et... Un chien Il se promena Les humain en laisse tenu par le chien | |
| | | Plumette Administrateur
Messages : 750 Plumes : 646 Date d'inscription : 14/08/2012 Âge : 25 Localisation : BibliOnline !
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Dim 10 Fév - 16:57 | |
| C'est L'histoire d'une fille et d'un garcon et... Un chien Il se promena Les humain en laisse tenu par le chien. Comme tout les autres chiens, qui se baladent dans la ville, debout, qui saluent les autres, parfois tenant dans leurs petites pattes, des humains à quatre pattes, tirant la langue de contentement. | |
| | | Zagdar Copie Griffonnée
Messages : 51 Plumes : 100 Date d'inscription : 30/08/2012 Âge : 25 Localisation : Quelque part
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Ven 15 Fév - 13:39 | |
| C'est L'histoire d'une fille et d'un garçon et... Un chien. Il se promena, les humains en laisse tenu par le chien. Comme tout les autres chiens, qui se baladent dans la ville, debout, qui saluent les autres, parfois tenant dans leurs petites pattes, des humains à quatre pattes, tirant la langue de contentement. Ça c'est la vie qu'aurait aimé avoir Bignouf, un carlin comme les autres mais qui en avait marre de se faire promener comme un vulgaire toutou et de ne pas pouvoir choisir où il pouvait aller. | |
| | | Plumette Administrateur
Messages : 750 Plumes : 646 Date d'inscription : 14/08/2012 Âge : 25 Localisation : BibliOnline !
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Ven 15 Fév - 18:26 | |
| C'est L'histoire d'une fille et d'un garçon et... Un chien. Il se promena, les humains en laisse tenu par le chien. Comme tout les autres chiens, qui se baladent dans la ville, debout, qui saluent les autres, parfois tenant dans leurs petites pattes, des humains à quatre pattes, tirant la langue de contentement. Ça c'est la vie qu'aurait aimé avoir Bignouf, un carlin comme les autres mais qui en avait marre de se faire promener comme un vulgaire toutou et de ne pas pouvoir choisir où il pouvait aller. Il se faisait promener par une fille et un garçon qui s'aimaient profondément et cela l'agaçait prodigieusement car lui n'avait jamais trouvé l'amour. Mais heureusement, un jour, il se transforma en super héros après avoir avalé sans faire exprès une mouche magique. | |
| | | Soleil Parchemin Vierge
Messages : 9 Plumes : 10 Date d'inscription : 08/02/2013 Âge : 25 Localisation : CDI
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Sam 16 Fév - 11:40 | |
| C'est L'histoire d'une fille et d'un garçon et... Un chien. Il se promena, les humains en laisse tenu par le chien. Comme tout les autres chiens, qui se baladent dans la ville, debout, qui saluent les autres, parfois tenant dans leurs petites pattes, des humains à quatre pattes, tirant la langue de contentement. Ça c'est la vie qu'aurait aimé avoir Bignouf, un carlin comme les autres mais qui en avait marre de se faire promener comme un vulgaire toutou et de ne pas pouvoir choisir où il pouvait aller. Il promener par une fille et un garçon qui s'aimaient profondément et cela l'agaçait prodigieusement car lui n'avait jamais trouvé l'amour. Mais heureusement, un jour, il se transforma en super héros après avoir avalé sans faire exprès une mouche magique.se faisait .Une cape Rouge et un Slip rouge d'un seul coup se retrouva sur lui il avait donc le pouvoir de pouvoir parler a 3 personnes de son choix. | |
| | | Plumette Administrateur
Messages : 750 Plumes : 646 Date d'inscription : 14/08/2012 Âge : 25 Localisation : BibliOnline !
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Sam 16 Fév - 12:58 | |
| C'est L'histoire d'une fille et d'un garçon et... Un chien. Il se promena, les humains en laisse tenu par le chien. Comme tout les autres chiens, qui se baladent dans la ville, debout, qui saluent les autres, parfois tenant dans leurs petites pattes, des humains à quatre pattes, tirant la langue de contentement. Ça c'est la vie qu'aurait aimé avoir Bignouf, un carlin comme les autres mais qui en avait marre de se faire promener comme un vulgaire toutou et de ne pas pouvoir choisir où il pouvait aller. Il promener par une fille et un garçon qui s'aimaient profondément et cela l'agaçait prodigieusement car lui n'avait jamais trouvé l'amour. Mais heureusement, un jour, il se transforma en super héros après avoir avalé sans faire exprès une mouche magique.Une cape Rouge et un Slip rouge d'un seul coup se retrouva sur lui il avait donc le pouvoir de pouvoir parler a 3 personnes de son choix. Et ses personnes là exaucerait tout les voeux qu'il pourrait choisir mais qui serait possible d'exaucer à ces personnes là. Il devait donc choisir de bonnes personnes très riches si possible. Il choisit donc : | |
| | | Zagdar Copie Griffonnée
Messages : 51 Plumes : 100 Date d'inscription : 30/08/2012 Âge : 25 Localisation : Quelque part
| Sujet: Re: L'Histoire Sans Fin Mar 5 Mar - 12:29 | |
| C'est L'histoire d'une fille et d'un garçon et... Un chien. Il se promena, les humains en laisse tenu par le chien. Comme tout les autres chiens, qui se baladent dans la ville, debout, qui saluent les autres, parfois tenant dans leurs petites pattes, des humains à quatre pattes, tirant la langue de contentement. Ça c'est la vie qu'aurait aimé avoir Bignouf, un carlin comme les autres mais qui en avait marre de se faire promener comme un vulgaire toutou et de ne pas pouvoir choisir où il pouvait aller. Il promener par une fille et un garçon qui s'aimaient profondément et cela l'agaçait prodigieusement car lui n'avait jamais trouvé l'amour. Mais heureusement, un jour, il se transforma en super héros après avoir avalé sans faire exprès une mouche magique.Une cape Rouge et un Slip rouge d'un seul coup se retrouva sur lui il avait donc le pouvoir de pouvoir parler a 3 personnes de son choix. Et ses personnes là exaucerait tout les voeux qu'il pourrait choisir mais qui serait possible d'exaucer à ces personnes là. Il devait donc choisir de bonnes personnes très riches si possible. Il choisit donc : -Rihanna -Barack O'Bama -La fée des toilettes | |
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